Le Monde: «L’imaginaire territorial des marques» Une étude Institut Terram / Fondation Jean-Jaurès

11 octobre 2024

Dans une étude pour l’Institut Terram et la Fondation Jean Jaurès, publiée vendredi 11 octobre, l’essayiste Raphaël Llorca s’intéresse au rôle prépondérant des marques commerciales dans la construction d’un « imaginaire territorial ». Selon lui, les années 2020 représentent un tournant.

Article sur le site du Monde:« Terroir washing » : les effets sociopolitiques de l’instrumentalisation accrue des territoires français par les marques

La Matinale de France Inter: Législatives, analyse du paysage politique

9 juillet 2024

Analyse et décryptage du paysage politique français, à quelques jours du premier tour des élections législatives. Les débatteurs du jour sont : l’essayiste Raphaël Llorca et l’écrivain Hervé Le Tellier.

Écouter l’émission sur le site de Radio France

C Politique - Législatives 2024 : «Emmanuel Macron a fait un coup d’état psychique»

18 juin 2024

«Emmanuel Macron a fait un coup d’État psychique. Proposer un acte de déstabilisation qu’il vise à une neutralisation.»
Raphaël Llorca de la fondation Jean-Jaurès

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L’Obs - "Il ne faut pas laisser le consommateur à l’extrême droite"

12 janvier 2024

Raphaël LLorca, expert associé à la Fondation Jean-Jaurès, exhorte la gauche à s’emparer d’un thème qu’elle a trop longtemps délaissé : la consommation. Entretien. 

Lire l’article sur le site de L’Obs

L’Epxress - «Décathlon promeut la passion, pas la performance»

7 décembre 2023

Peu d’entreprises peuvent se targuer de parler à tout le monde et de réussir à conserver une image positive. Decathlon fait partie de ce club très fermé. Pour L’Express, l’essayiste Raphaël Llorca, auteur du Roman national des marques, s’est plongé dans la galaxie « decathlonnienne » pour en comprendre les ressorts. En s’appuyant sur le contre-exemple de Nike, il montre comment l’enseigne est parvenue à s’immiscer dans le quotidien des Français, tout en entretenant un rapport compliqué avec la politique.

Lire l’article sur le site de L’Express

Magazine Transfuge -" Le roman national des marques"

Le roman national des marques » est chroniqué dans le magazine TRANSFUGE, consacré à l’actualité culturelle. Entre une interview-fleuve de Woody Allen et une rencontre avec Lidia Jorge, le romancier Nathan Devers parle d’un « ouvrage aussi érudit que vif » :

« Telle est la force de l’essai de LLorca : c’est une truculente exégèse de la publicité. Regorgeant d’exemples qu’il soumet à un regard néo-barthésien (il était temps !), il s’attache à exhumer toute la puissance de récit que révèlent ces signes du quotidien »

Linkedin Transfuge

Ouest-France: «Les marques façonnent notre vision du monde»

Quand les politiques n’enrichissent plus le récit national, les marques commerciales prennent le relais. La consommation aurait le pouvoir de redonner la confiance. C’est ce qu’explique Raphaël Llorca, codirecteur de l’Observatoire Marques, imaginaires de consommation et politique à la Fondation Jean-Jaurès.

Lire l’article dans Ouest-France

Interview-fleuve dans le magazine Stratégies

À même pas 30 ans, Raphaël Llorca a déjà publié «La Marque Macron» et «Les Nouveaux masques de l’extrême-droite». Expert associé à la Fondation Jean-Jaurès depuis 2020, il sort un ouvrage dense et passionnant, «Le Roman national des marques.» Il nous a accordé une longue interview. Récit.

Lire l’article dans le magazine Stratégies

«The Disneyification of national brands», Financial Times

« Le roman national des marques » est cité dans un long article du Financial Times sur « The Disneyification of national brands ». En partant de mon livre, le journaliste Simon Kuper propose une réflexion très intéressante sur le pouvoir des marques (IKEA, Apple, Renault) à façonner les imaginaires nationaux.

Extraits choisis:

« What is the US? Or France? Or Italy? Telling that story used to be the job of politicians. They shaped national brands. Charles de Gaulle spoke of his “certain idea of France”, and Ronald Reagan depicted the US as a “shining city on a hill”.

But politicians rarely succeed in producing national narratives any more. Partly it’s because their countries are too divided. Is today’s US the place depicted by Donald Trump or Joe Biden? And so, argues French author Raphaël Llorca in his new book Le roman national des marques (roughly “the national story of brands”), the job of telling the national story has fallen to corporations. They do it better than politicians. Many companies now build their corporate brands on national brands. Ikea sells a Disneyfied version of Sweden, Hermès does the same with France and Swiss watchmakers with Switzerland. Llorca calls this trend “a privatisation of national imaginaries”.

Watching corporate brands manipulate national brands helps clarify how these nations are perceived. More than that: strong corporate brands have the power to change national brands. Clever marketing campaigns for products can remake the image of entire populations (…).

All this matters hugely, because national brands don’t merely brand products, from french fries to silicon chips. They also brand every citizen of a nation. For better or worse, depending on where you come from, the chief selling point of your CV might be your national brand ».

>Lire l’article sur le site du Financial Time

Lidl ou Renault plutôt que Macron ou Mélenchon ? Dans la «France des marques» de Raphaël Llorca, Libération

Le journal Libération a consacré une belle recension de mon ouvrage «Le roman national des marques», dont la thèse est résumée en une phrase: « Au-delà du profit recherché par les enseignes commerciales, les discours publicitaires fabriquent de puissants imaginaires communs – au point parfois, de reléguer symboliquement le politique »

>Lire l’article sur le site de Libération

C ce soir (France 5) : Qu’est-ce qui fédère encore les Français ?

Avons-nous encore une France en commun ? Question posée alors que de vifs débats ont émaillé la rentrée : la Cérémonie d’ouverture de la Coupe du monde de rugby, jugée par certains comme la représentation d’une “France rance”… ou encore le “clash” de cet été entre les fans de Michel Sardou et ceux de Juliette Armanet. Alors qu’est-ce qui fédère encore les Français ? Avons-nous encore une culture, des références en commun ? Et surtout : comment nous projeter ensemble dans la France de demain ? On en débat avec :

– Raphaël Llorca, communicant, codirecteur de l’Observatoire « Marques, imaginaires de consommation et Politique » à la Fondation Jean-Jaurès, auteur de « Le roman national des marques » aux éditions l’Aube / Fondation Jean-Jaurès
– Anne Rosencher, directrice déléguée de la rédaction de l’Express
– Jean-Laurent Cassely, journaliste, essayiste, co-auteur avec Jérôme Fourquet de « La France sous nos yeux » éditons augmentée aux éditions Points
– Mathilde Serrell, journaliste, productrice, chroniqueuse à France Inter, « Un monde nouveau » du lundi au jeudi à 8H52, « Nouvelles têtes » du lundi au jeudi à 9h47
– Cole Stangler, journaliste, contributeur pour The Nation, Jacobine et The Guardian, auteur de « Paris Isn’t Dead Yet » aux éditions Saqi Books

FRANCE INTER : 16 septembre 2023 - "Le roman national des marques" avec Raphaël Llorca

Ce ne sont plus vraiment les politiques ou les écrivains qui façonnent notre représentation de la France, mais les marques. Telle est la thèse du nouveau livre de Raphaël Llorca. Débat avec l’essayiste et communicant, auteur de « Le roman national des marques » (L’Aube – Fondation Jean-Jaurès).

LE MONDE: Raphaël Llorca, essayiste : «Le politique doit de nouveau raconter la France»

Le communicant associé à la Fondation Jean Jaurès analyse, dans «Le Roman national des marques», qui paraît vendredi, le poids prépondérant des marques commerciales dans le récit national. Et, en creux, le recul du politique générateur d’un risque démocratique, explique-t-il dans un entretien au «Monde».

C POLITIQUE (France 5) S13: Invités: Raphaël Llorca, Laurent Suau, Gaspard Koenig et Anasse Kazib

J’étais hier soir l’invité de C Politique (France 5) pour parler de mon essai « Les nouveaux masques de l’extrême droite ». Immense honneur d’être l’invité le plus jeune de l’histoire de l’émission … un énorme merci à toute l’équipe pour votre confiance!

« Je ne suis ni politologue, ni sondeur : je travaille sur les signes et la question des représentations (…). J’ai essayé de mobiliser une autre grille de lecture, qui est celle de la sémiologie, du langage, du décryptage des images, pour essayer de défataliser la montée de l’extrême droite »

Quotidien (MYTF1): qui est vraiment Éric Zemmour? Avec Raphaël Llorca

Peut-on envisager la possibilité qu’Éric Zemmour, un chroniqueur associé à des positions politiques d’extrême droite bien qu’il n’ait pas encore officialisé sa candidature, puisse accéder au second tour de l’élection présidentielle? Les sondages prévoient cette éventualité depuis environ six mois, et cela se situe à un peu moins de six mois du premier tour. Passant d’une candidature potentielle extravagante à un phénomène notable, le polémiste s’est insinué puis solidement implanté dans le paysage de cette campagne présidentielle. Lors de cette émission, qui se déroule ce lundi, nous allons analyser le cas du « phénomène Zemmour » en compagnie de ceux qui ont étudié son parcours de près. Raphaël Lorca, doctorant spécialisé dans la philosophie du langage et auteur de « La secousse Zemmour » pour la Fondation Jean Jaurès, ainsi qu’Étienne Girard, rédacteur en chef à l’Express et auteur de « Le radicalisé », sont les invités de l’émission Quotidien et vont échanger à ce sujet.

Quotidien (MYTF1): Raphaël Llorca lève le voile sur les nouveaux masques

À deux mois du premier tour de l’élection présidentielle, jamais l’extrême droite n’a été aussi forte en France. À eux deux, Marine Le Pen et Éric Zemmour représentent près de 30% des intentions de vote. Quelle est leur communication, leur stratégie d’influence, quels sont leurs masques? On en parle avec le communicant et doctorant en philosophie du langage Raphaël Llorca à l’occasion de la publication de son dernier livre, «Les nouveaux masques de l’extrême droite; la radicalité à l’ère Netflix».

FRANCE INTER: Raphael Llorca: "Il y a un outil qu'on ne mobilise jamais pour penser le politique, c'est la marque"

Raphaël Llorca, communicant chez Havas et expert associé à la Fondation Jean-Jaurès, analyse le macronisme dans un essai axé sur ses symboles. Il discute de cette approche, différente de l’approche marketing traditionnelle, qui se concentre sur les symboles et la notion de « Neutre ». Selon Llorca, Macron a construit une « marque » basée sur le concept du Neutre, évitant les conflits et adoptant une posture apaisée. Le discours emblématique devant la pyramide du Louvre en 2017 incarne cette approche, marquant également une certaine fermeté. Llorca relie le choix de la couleur bleue par Macron à sa communication sacrée et distante, en contraste avec le réalisme direct des « gilets jaunes », dont les porte-parole s’expriment depuis des environnements plus modestes.

FRANCE INTER - LE 7/9: Clément Beaune - Pierre-Henri Tavoillot - Brice Teinturier - Raphaël Llorca

Clément Beaune, Secrétaire d’Etat chargé des Affaires étrangères, Pierre-Henri Tavoillot, président du collège de philosophie, Brice Teinturier, politologue, directeur général délégué de l’IPSOS, et Raphaël Llorca, communicant, expert associé à la Fondation Jean- Jaurès, sont les invités du 7/9.

FRANCE INTER - L'invité de 8h20: Le grand entretien

Comment se porte le secteur de la grande distribution? Laisse-t-il la place aux petits commerces? Raphaël Llorca et Nathalie Lemarchand reviennent sur ce pilier de l’économie française, souvent fragilisé mais dernièrement favorisé par la crise du coronavirus.

FRANCE CULTURE - Épisode 5/6: L'extrême droite a-t-elle gagné la bataille du buzz?

Raphaël Llorca, communicant et doctorant en philosophie du langage, analyse dans son livre « Les nouveaux masques de l’extrême droite. La radicalité à l’ère Netflix » les stratégies de communication des candidats politiques. Dans le cadre de la série « Campagne des Idées », il examine comment les candidats utilisent des signes pour renforcer leur pouvoir, en se concentrant sur le gouvernement Macron et les élections à venir. Llorca remplace le concept de « marque » par celui de « masque » pour décrire comment les candidats se présentent. Il souligne l’approche conciliante de Marine Le Pen et le masque de radicalité adopté par Éric Zemmour pour rendre attrayantes les idées extrêmes. L’auteur étudie la stratégie numérique de Zemmour, inspirée des schémas narratifs des séries Netflix, visant à saturer les médias sociaux et créer une « culture cool ». Son livre vise à offrir des outils pour déconstruire les stratégies de l’extrême droite et remettre en question son ascension.

LE MONDE: Raphaël Llorca, communicant : «L’approche qui consiste à “démasquer” Marine Le Pen et Eric Zemmour ne suffit plus»

Raphaël Llorca, communicant et doctorant en philosophie du langage, analyse, dans un entretien au «Monde», les stratégies d’influence des deux candidats d’extrême droite à l’élection présidentielle.

LE 1: décrypter pour mieux résister

« Ce qui me paraît frappant dans cette campagne, au-delà du haut potentiel électoral de l’extrême droite, ce sont les mots, les images, les expressions qui se sont imposés. On pourrait croire à un glissement politique inexorable face auquel le camp républicain serait forcément impuissant. Au contraire, je pense qu’il faut insister sur la construction imaginée dès les années 1970 par Alain de Benoist, le fondateur du Club de l’horloge, cette stratégie qui cherche à dicter ses idées par d’autres vecteurs que la bataille doctrinaire à découvert. »

BACKSEAT: Saison 2 épisode 04

J’ai eu le plaisir d’intégrer la Dream Team des chroniqueurs de l’émission politique Back Seat, créée et animée par Jean Massiet. Pour ma première, aux côtés de Usul et de Chloé R., on a discuté régulation du porno, bataille des retraites et reçu François Ruffin comme invité politique.

Un petit extrait: « La semaine qui s’achève a cranté un élément important dans la mobilisation sociale : le gouvernement a fait le deuil de la bataille de l’opinion »